schéma entrée d’air.pdf (12,0 Ko)
bonjour
Les entrées d’air dans les fenêtres ont 2 inconvénients
c’est la sensation de froid l’hiver
situées en haut des fenêtres on perd 3 m de hauteur de dépression
dans le schéma de principe joint l’idéal c’est le poele à côté de l’entrée d’air et un cage d’escalier les plus centrale possible
je pense que l’extracteur solaire dont tu parles est en fait un extracteur électro-solaire avec ventilateur alimenté par élément photo-voltaïque. On n’est plus dans la ventilation « naturelle »
Attention la pub est en général trompeuse car extraire l’air chaud c’est buen à condition d’avoir une entrée d’air froide sinon… remplacer de l’air chaud par de l’air chaud…Comment dire… A mon avis , compte tenu de la hauteur de la maison un gaine de 80 pour la sdb et de 125 pour la cuisine (éventuellement raccordée à une hotte aspirante= avec des sorties de toit classiques me semble suffisant. La contrainte de la ventilation naturelle, c’est qu’il faut laisser les portes des chambres ouvertes dans la journée.
Le principe de la cheminée de verre est simple. Il s’agit d’une souche de cheminée qui peut être de forme locale, mais réalisée avec une ossature en alu ou acier galva et dont les 4 côtés sont vitrés (vitrage simple) Cette souche est à raccordée avec une grosse gaine (diamètre à préciser en fonction du volume général de ma maison) au plafond de la cage d’escalier. L’effet de serre produit par dans la souche augmente la dépression interne de la maison et augmente le débit de ventilation. Il faut la faire faire par un métallier avec un dessin, car personne n’en vend (ben oui , y a rien qui bouge!!!). Mais le pénomène de la ventilation natuelle n’est pas un mythe .
Si tu veux en savoir plus : ( wikipédia)
La variation de pression verticale est la variation de pression en fonction de l’altitude. Selon le fluide et le contexte visé, il peut également varier de manière significative en dimensions perpendiculaires à l’altitude aussi, et ces variations ont une pertinence dans le contexte de la force de gradient de pression et de ses effets. Cependant, la variation verticale est particulièrement significative, car elle résulte de l’attraction de la gravité s’exerçant sur le fluide; à savoir, pour le même fluide donné, une diminution de l’élévation à l’intérieur de celui-ci, correspond une plus haute colonne de fluide pesant à ce point.
Une version relativement simple 1 de la variation verticale de pression du fluide découle simplement du fait que la différence de pression entre les deux élévations, est le produit de changement d’altitude, de la gravité et de la densité. L’équation est la suivante:
Δ�=−��Δℎ
où
P est la pression,
ρ est la densité,
g est l’accélération de la pesanteur, et
h est la hauteur.
Le symbole delta indique un changement dans une variable donnée. Comme g est négatif, une augmentation de hauteur correspond à une diminution de la pression, ce qui correspond au raisonnement mentionné précédemment sur le poids d’une colonne de fluide.
Lorsque la densité et la gravité sont à peu près constante, effectuer simplement le produit de la différence de hauteur, de la gravité et de la densité donnera une bonne approximation de la différence de pression. Là où les différents fluides sont en couches superposées, le total de la différence de pression serait obtenue en ajoutant les deux différences de pression; le premier étant du point 1 à la limite, le deuxième à partir de la frontière au point 2; ce qui pourrait simplement impliquer la substitution des valeurs de ρ et Δh pour chaque fluide et de prendre la somme des résultats. Si la masse volumique du fluide varie avec la hauteur, une intégration mathématique est nécessaire.
La question de savoir si la densité et la gravité peuvent être raisonnablement approchées comme constantes dépend du niveau de précision nécessaire, mais aussi de l’échelle de longueur de la différence de hauteur, car la gravité et la densité diminuent également avec l’altitude. Pour la densité en particulier, le liquide en question est également pertinent; l’eau de mer, par exemple, est considéré comme un fluide incompressible; sa densité peut varier en fonction de la hauteur, mais de manière beaucoup moins significative que celle de l’air. Ainsi la densité l’eau peut être plus raisonnablement estimée comme constante, par rapport à celle de l’air, et compte tenu de la même différence de hauteur, les différences de pression dans l’eau sont à peu près égale à n’importe quelle profondeur.