Assistance professionnelle à l'autoconstruction/autorénovation : on s'y met ?

Rappel : cette page traite d’un sujet soumis à la concertation Twiza 2023. Pour comprendre il est indispensable de commencer par voir la page Objectif et fonctionnement de la concertation

Ce qui est soumis à concertation ici

La place que Twiza doit laisser à ces pratiques dans le réseau.
La place que Twiza doit prendre dans la structuration de ces pratiques.
Ceci concerne donc autant les professionnels que les porteurs de projets.

Contexte et constat

Il est fréquent que des professionnels travaillent avec des particuliers sur un chantier, on parle souvent d’accompagnement, ou d’assistance professionnelle à l’autoproduction (pour regrouper l’autoconstruction et l’autorénovation) . Il existe tout un panel de pratiques qui vont du chantier franchement autoproduit (participatif ou pas) qui intègre ponctuellement du conseil professionnel, jusqu’au chantier réalisé essentiellement par un artisan mais qui accepte une participation bénévole du maître d’ouvrage.

Qu’on les reconnaisse ou pas ces pratiques existent. Au sein du réseau Twiza on pense qu’elle sont pertinentes en de nombreux points. Beaucoup de professionnels du réseau font de l’accompagnement, et beaucoup de gens qui passent par le réseau cherchent de l’accompagnement.

Problème : faute de cadre clair, chacun fait à sa manière. Le plus souvent ça se passe bien, parfois ça se passe mal. Cette diversité des pratiques est probablement une richesse, mais c’est aussi et clairement un frein à son développement. Concrètement le réseau Twiza ne peut pas promouvoir une catégorie de métier qui serait « Accompagnateur•trice » ou « Assistant·e professionnel·le à l’autoconstruction » car il n’existe pas de définition commune. Donc si l’on faisait cette catégorie dans les faits on y trouverait une trop grande diversité de pratiques, dont certaines certes anecdotiques mais existantes qui posent problème. Pour résumer on ne peut pas promouvoir quelque chose qui n’est pas clairement défini.

Il existe des initiatives qui travaillent sur ce sujet : des CAE, la FédAc, les compagnons bâtisseurs, des assos locales. J’imagine que ça répond à leurs besoins, mais pour le moment j’ai l’impression que ça ne répond pas aux besoins du réseau Twiza.

PS : J’ajoute ici une illustration que j’avais réalisée en 2014. Elle n’a pas trop vieilli.

Les questions soumises à concertation

Est-ce que l’assistance professionnelles à l’autoproduction du bâtiment est un sujet que l’on devrait identifier plus dans le réseau ?

Est-ce qu’on devrait prendre plus d’initiatives pour aider à la structuration de ce métier émergent ?

Que pourrait-on faire pour ça ?

Pour intervenir clique sur « Répondre »

Pour soutenir tel ou tel commentaire, clique sur le coeur ça nous aidera à « pondérer » les avis de la communauté.

9 « J'aime »

Bonjour,
Sur l’Ouest de la region parisienne, je connfirme aucune piste en ARA -Auto-réhabilitation accompagnée côté Compagnons Bâtisseurs, MPF 78, France Rénov, Citémétrie, Anah, Adil, CAUE, Castors Idf, collectivités territoriales, organisations professionnelles du bâtiment. Aucun exemple de chantier, financement ou artisan impliqué.
Seul organisme concerné: Archipossible (91), qui débute une liste de quelques pros intéressés par la démarche, mais qui n’interviennent pas sur mon secteur (78-92-95).

La formule ARA s’applique, à mon sens , sur les travaux les moins techniques (isolation murs, combles et planchers bas, finitions peinture/revêtements) et en appui manutention sur d’autres postes (pose menuiseries, démolitions).
Elle peut de plus présenter un avantage sur l’achat de fournitures par le MO, malgré la TVA à taux normal et les questions de garantie, si accord avec l’artisan. Elle s’impose pour les propriétaires tenus à l’écart des subventions.

Les régions Normandie (Arpe), Bretagne (Compagnons Bâtisseurs, Tiez Breizh) er Auvergne Rhône-Alpes (Castors) encouragent l’ARA pour des raisons évidentes d’économies.
Les zones en tension ignorent le dispositif.

4 « J'aime »

Bonjour,

J’ai l’impression nous sommes confrontés a un vide juridiques qui ne permet pas de donner une définition clair du métier d’accompagnateur.

Dans la question je vois deux niveaux d’accompagnement pro :

  • Les pro artisan qui peuvent aider par transmission de compétence dans la réalisation du projet. Je me demande s’il ne faudrait pas développer le statut de chantier école. Ce statut pourrait même répondre a la question du financement du projet
  • Les accompagnateurs à la conception qui sont plutôt une aide à la préparation du projet voir à l’organisation du chantier mais j’ai l’impression que l’on est face a un vide juridique.

J’ai constaté personnellement que les porteurs de projets ne savent pas toujours à qui s’adresser en fonction de l’avancement du projet. Et que nous Professionnel nous sommes très peu cadré juridiquement dans notre mission d’accompagnement.

Cette question de définition du métier d’accompagnateur me fait me demander s’il ne faut pas avant tout réfléchir à la méthode d’accompagnement. Quel sont les étapes ? Comme aider le porteur de projet ? quels sont les aides apporter au porteur de projet ? et comment garantir un accompagnement permettant au porteur de projet de rassurer les financeurs ?

Après à la question si TWIZA peut s’impliquer dans cette démarche je suis un peu trop novice dans le réseau pour comprendre les tenants et les aboutissant que cela implique.

Marine

8 « J'aime »

Bonjour à tous,

Il me semble important de différentier les interventions d’un professionnel selon les étapes d’un projet de construction :

  • Les études en amont de la réalisation (études d’avant-projet, études projet, étude d’exécution, éventuellement demande d’autorisation d’urbanisme)
    (pouvant intégrer les conseils d’un professionnels exécutant ou accompagnant la réalisation)

  • L’exécution du chantier à proprement parlé
    (pouvant intégrer les études d’exécution d’un lot d’ouvrage exécuté par un professionnel.)

Cas particulier les éléments de formations ou transfert de compétences, qui peuvent être intégrer aussi bien en phase d’étude qu’en phase de réalisation.

Un ou plusieurs accompagnants peuvent intervenir sur l’une, l’autre ou les 2 parties, en collaboration, en succession ou très distinctement.

8 « J'aime »

Bonjour,

Je suis d’accord avec Marine sur le vide juridique, j’ajouterai un vide au niveau assuranciel.
En tant que pro je m’adapte à un maximum de demande mais je ne suis pas serein en cas de pépin (sécurité des clients et bénévoles, assurances de l’ouvrage).

Je fais le constat qu’il y a un grand besoin d’accompagnateur, car beaucoup de porteurs de projets n’ont pas le budget pour faire faire. Il y a aussi beaucoup d’envie de participer activement au projet. Le métier à donc de l’avenir.

Je partage le constat du manque de clarté dans la multitude de pratiques en ARA et ACA. Pour ma part je m’adapte aux demandes des clients, et cela demande énormément de souplesse et une parfois certaine prise de risque (vide juridique et assuranciel). Il me serait impossible aujourd’hui de définir clairement mon rôle tant il varie d’un chantier à l’autre. Je me demande si d’autres pro sont dans cette situation ou si c’est parce que je démarre.

Je pense que le chantier participatif et l’accompagnement à l’ARA et ACA sont complémentaires et collent parfaitement aux valeurs que j’attribue à Twiza. En ce sens je suis d’avis que Twiza a un rôle à jouer pour définir ces nouveaux métiers et aider à leur reconnaissance afin de participer à leur créer un cadre plus sûr autant pour les accompagnateurs que pour les porteurs de projet.

Je vous partage mes idées pour structurer ces métiers :

  • il serait pertinent de consulter l’étude de l’ADEME « Auto-rénovation accompagnée -
    Impact économique et perspectives pour les entreprises du bâtiment -
    Réflexion sur les modèles économiques pour les entreprises » : j’ai le compte rendu de l’étude et peux demander si je peux le partager
  • envoyer des questionnaires aux professionnels pour identifier leurs besoins, leurs atouts, leurs expériences, leurs souhaits pour structurer le métier (formations spécifiques à l’accompagnement? )
  • envoyer des questionnaires aux porteurs de projet (en cours et finis) pour identifier leurs attentes et leurs expériences, leur propositions d’amélioration, ce qu’ils ont aimé, leur motivations initiale et leur conseils pour les autres porteurs de projet
  • Se rapprocher des assurances pour étudier l’assurabilité de ces pratiques

Pour ma part la diversité des pratiques est très appréciables et j’aime la liberté que cette tendance offre en tant qu’artisan car elle permet de réinventer le rapport au client et au projet.
Bien que désireux de sécuriser ARA et ACA pour les porteurs de projet et les pro je ne voudrais pas que la pratique soit encadrée par trop de labels et des certifications coûteuses en temps et en argent.

12 « J'aime »

Petit question que signifie : ARA et ACA ?

1 « J'aime »

Bonjour @jonathan.poitron ,
Connais-tu la FEDAC? Je pense que le kit accompagnateur que propose la FEDAC pourrait t’intéresser et répondre à certaines de tes questions.

Pour ma part, le sujet assurance des archi accompagnateurs en phase chantier est un point très très dérangeant pour assurer un suivi serein pour tous…

3 « J'aime »

Bonjour,

Pour ma part, je fais parti d’une CAE et travaillons sur nos documents internes pour pouvoir être assurables et ainsi travailler en toute sérénité sur nos chantier d’ARA et ACA.
Il faut être défendable en cas de litige.
Je sais qu’il y a d’autres CAE qui travaillent sur le sujet.
L’idée est d’avoir de la doc relativement commune entre pros et qui définisse parfaitement ce que nous faisons de manière à faire comprendre à nos assureurs que nous fournissons un travail sérieux et que nous pouvons être assurables.
Ce qui souci notre assureur, c’est le manque de cohérence entre la valeur de travail vendue et la valeur du bâtiment.
Ce qu’ils nous conseillent pour le moment, c’est par exemple de ne vendre qu’un petit volume ou petite surface (ex : « construction ossature bois de la façade Nord ») pour déposer sa garanti uniquement sur le volume vendu.

Ces documents sont notamment un livret de l’Auto Constructeur(trice), un contrat d’accompagnement à la réalisation de travaux en ARA et ACA. et une convention de bénévolat.

Nous avons définie 3 axes d’accompagnement :

  • l’accompagnement à proprement parlé
    • le pro est là tout le temps et le client joue le rôle du « manœuvre »
    • accompagnement « départ » avec démos/formation sur un élément puis les clients continuent seuls. ceci avec des contrôles « qualités » par le pro aux étapes clefs.
  • les chantiers participatifs
  • l’animation pédagogique

En espérant que ces travaux aident à combler ce « vide juridique » et défendre nos activités d’accompagnateur(trice)s et qu’elle sera sincèrement reconnue.

6 « J'aime »

Auto Réhabilitation Accompagnée et Auto Construction Accompagnée

2 « J'aime »

Bonjour @Thomas_Zins
Merci, je ne connaissais pas du tout, je vais explorer un peu leur site, l’idée me plait!

D’accord avec toi, le manque de solutions assurantiel pose problème…

1 « J'aime »

Bonjour à tou-te-s!
Pour celles et ceux qui ne connaissent pas encore la FEDAC ( FEDération des ACcompagnateurs à l’autoproduction et à l’entraide dans le bâtiment créée en 2015), je vous invite à aller jeter un oeil au site et à vous abonner à la newsletter ! C’est gratuit. Le lien qui suit vous donnera une idée plus précise du projet associatif 2020/2023 en cours:

La FEDAC s’adresse aux artisans, aux archi et MOE accompagnateurs.

Je suis architecte, adhérent et membre d’un groupe de travail architecte et MOE. Nous y partageons nos pratiques d’accompagnement, nos expériences… Par exemple :

  • nous travaillons à la définition « d’un cadre » des pratiques de l’archi/MOE accompagnateurs, du 1er contact avec le MOA à la préparation du chantier…
  • nous organisons des partages d’expériences sous forme de webinaires
  • un groupe a démarré une réflexion sur la question des assurances…
  • nous partageons des documents ressources sur l’accompagnement
    -…

N’hésitez pas à nous rejoindre !

Bonne découverte!

3 « J'aime »

Ce sont d’excellentes questions qui décrivent bien les besoins et les étapes.

Quand à mon point de vue le voici :
Quand j’accueille les organisateurs de chantier, je présente les professionnels qui sont référencés sur la page Pro et Asso comme de potentiels accompagnateurs pour encadrer la mise en place d’une pratique bénévole. Je pense que dans le fond la pratique existe, c’est la forme qui est non officielle.

De même que Twiza propose une courte formation pour aider les auto-constructeurs à mieux faire leur choix, peut être qu’une courte formation, ou la justification de plusieurs chantier humain bien réalisé, peut donner une « qualification » à certains professionnels, la couleur sur la carte pourrait changer par exemple ?

Sinon, est-ce qu’il peut y avoir une autre carte avec seulement les accompagnant qui concerne 2 types de personnes :

  • les pros qui justifie d’avoir encadré des chantiers dont les bénévoles et MO sont sortis épanouis
  • les MO qui ont finis leur chantier et souhaite continuer à partager leur expérience comme on discute dans une autre conversation de la concertation.

En discutant avec des pros je pense comme Jonathan qu’il y a un vide assurantiel et pour s’en libérer, un statut de conseiller peut peut être voir le jour même si j’ai peur que le côté non professionnel fasse perdre de la valeur à la démarche.
L’assistance « conseil » des MO gagnerait à être mise en valeur pour chaque territoire ou chaque spécialité (terre, isolation, ossature bois …)

Oui, dans l’idéal ça serait super de participer à la naissance d’un métier clairement émergents.

3 « J'aime »

Bonjour @Vincent_Y ,
Accepterais-tu de parler des docs de ta CAE dans le cadre d’une réunion de travail de la FEDAC ? nous travaillons actuellement justement sur le contrat de MOE et somme à la recherche de toutes les bonnes pratiques.
La prochaine réunion aura lieu le mardi 30 mai à 13h30 en visio.

merci d’avance pour ton retour!
a+
thomas

bonjour @Solene,
Exerces-tu en tant qu’accompagnante d’auto-constructeur ?
Si oui tu pourrais aussi être intéressée par le travail du MOE de la FEDAC…
N’hésites pas à revenir vers moi si tu le souhaites!
a+
thomas

1 « J'aime »

Bonjour @Thomas_Zins
Je n’exerce pas pour accompagner les auto-constructeurs.
Peut être dans une futur reconversion mais pas aujourd’hui

1 « J'aime »

J’en discute avec mes collègues de la coopérative.
Je ne peux prendre cette decision seul.
Jusque là on garde notre travail en « interne ».
Je reviens vers toi.
En effet j’entends beaucoup parler de la FEDAC.

2 « J'aime »

@Thomas_Zins tout bien réfléchit, c’est vrai que le sujet m’intéresse, dans le cadre d’une éventuelle reconversion professionnelle, je vais essayer de suivre le sujet.

1 « J'aime »

Bonjour @ici,

Concernant la FédAc il est temps que je prenne position pour expliquer pourquoi je ne l’ai pas intégrée à ce sujet de concertation.

Pour être compris je dois préciser l’historique : en 2013 quand je commençais à préparer ce qui deviendra Twiza quelques mois plus tard, je m’investissais aussi dans le Réseau Français de la Construction Paille et je lançais un collectif informel de réflexion sur le sujet de l’assistance professionnelle à l’autoconstruction nommé CAP Autoconstruction, avec site web et newsletter. Je profitais des rencontres du RFCP pour organiser, en marge, des rencontres de ce collectif afin de faire un état des lieux et de voir comment faire pour progresser. J’ai ainsi agrégé un petit groupe de participants (qq dizaines) et une audience (quelques centaines d’inscrits à la newsletter). En 2015 le magazine La Maison Ecologique, qui co-organisait un salon à Paris (Zen etc) me sollicita pour intervenir au sujet de mes différentes initiatives : Twiza et CAP Ac°. J’ai préféré profiter de cet événement pour faire une assemblée constituante d’une asso dont la mission serait de faciliter l’émergence du métier de professionnel accompagnateur. J’ai alors envoyé dans les réseaux un appel à se fédérer et se rencontrer à Paris pour vérifier l’intérêt des acteurs pour cette initiative. Bien sur, quelques rares « historiques » du sujet ont essayé de torpiller cette initiative alors même que tout semblait indiquer qu’on oeuvrait pour la même cause (c’est classique malheureusement). Mais ce fut un échec et nous nous retrouvâmes à 19 pour une rencontre préparatoire qui abouti à la rédaction des statuts et la constitution d’un groupe prêt pour une assemblée constituante, qui allait avoir lieu 15 jours plus tard, de mémoire, pendant l’événement pour lequel LME m’avait invité. Cette assemblée eu bien lieu (voir photo ci-dessous, c’est moi avec le micro à droite, à l’époque j’avais encore des chevaux ^^) Avec une sono défaillante et dans le brouhaha du salon, l’amateurisme de ce cadre fut facilement compensé par notre motivation !

La FédAc était née.

Puis l’on s’est réunis à plusieurs reprises et comme beaucoup d’autres asso on s’est épuisés pour peu de résultats. Etant fondateur et malgré moi leader de cette initiative, j’en assume l’essentiel de la responsabilité. En 2018 j’ai alors essayé de prendre du recul pour laisser le collectif s’exprimer, car je trouvais que je prenais trop de place alors même que je n’étais pas assez disponible. En vain.

En 2019 avec la montée en puissance de Twiza et l’arrivée de mon premier enfant, je décidais de me retirer de la gouvernance, restant simple adhérent observateur. Comme espéré le collectif s’est remobilisé, d’autres leadership ont pu émerger et ce bol d’air frais a relancé un peu la dynamique.

Mais « Loin des yeux, loin du coeur »

Avec le temps, plus qu’une simple distance entre moi et la FédAc, j’ai eu à déplorer des comportements que, par grande indulgence, je qualifierai juste de maladroits. Disons que l’on pourrait trouver tout ceci particulièrement Freudien.

De plus je déplore que la FédAc commence aussi à se faire une petite réputation peu envieuse auprès de nombreux acteurs du secteur. J’ai tenté de les alerter et je crois que ça m’a valu, au final, encore plus de tension.

J’ai donc arrêté d’adhérer, et tourné la page, avec une profonde amertume (à l’époque). Je garde d’extraordinaires souvenirs de cette période et des échanges avec ce groupe de gens géniaux.

Tout ça pour dire qu’à ce jour, sur le papier la FédAc semble être un partenaire évident. Comme les « historiques » cités plus haut semblaient être des partenaires évidents. Mais dans les faits, rien n’indique qu’elle soit un partenaire adapté pour d’éventuels avancements de Twiza sur le sujet de l’accompagnement. En tous cas c’est mon avis. Je me résous donc à tisser d’autres partenariats avec des acteurs qui me semblent plus capables d’obtenir des résultats. Et je suis particulièrement bien placé pour regretter tout le temps, l’argent et les efforts que j’ai menés pendant des années, pour contribuer à l’existence d’un acteur auquel je dois finalement me résoudre à tourner le dos.

3 « J'aime »

Merci pour ce témoignage et bravo !..

2 « J'aime »

Bonjour Jonathan; je vous dirai ayez confiance en vous car l’expérience vient avec le temps, vous apprenez chaque jour…Je ne pense pas qu’il faille encore ajouter à la longue liste de pros, une spécialité telle que vous décrivez car les clients ou particuliers qui font de l’autoconstruction quand ils veulent une solution, cherchent et trouvent! cela prend du temps, certes, mais les plus malins sont souvent les moins fortunés car pas d’argent à jeter par les fenêtres, donc très débrouillards, y arrivent . Ce que j’ai de mon coté constaté, c’est que pour faire leur place au soleil, beaucoup sont prêts à dire et raconter n’importe quoi au citoyen lambda et que ce temps des tromperies est terminé.Si vous avez un bon état d’esprit, cela vient automatiquement. Même le droit est accessible à tous maintenant, cherchez et vous trouverez, il n’y a pas de vide juridique! Avec toute ma sympathie!!