Bonjour,
La remarque la plus fréquente chez un porteur de projet qui est très en amont est « Je ne sais pas par où commencer… » et ça peut se comprendre 
Nous avions réalisé une page d’explication pour aider mais les années passant je me dis qu’il serait temps de la mettre à jour, voire de la détailler.
La voici :
Qu’en pensez-vous ? Que manquerait-il aujourd’hui ?
Merci de votre participation constructive pour aider les porteurs de projets.
Je dirais qu’il faut anticiper le réchauffement climatique déjà là (+ ou - suivant les régions) et à venir pour tous…
Ha ha ok d’accord
Je suis (hélas) bien placé pour ce point-là. Ayant conçu à 70 ans une maison de type passif, dans le centre de l’Aquitaine, j’ai subi le réchauffement climatique bien plus rapide que prévu, pendant la décennie. Je suis donc devenu migrant saisonnier (Aquitaine-Bretagne). J’ai revendu la maison et…je crois savoir maintenant comment j’aurais dû la faire pour mieux résister aux canicules. Mais c’est trop tard.
Bonjour Cédric,
Dans mon cas, la plus part du temps, le compromis de vente est sous condition suspensive de l’obtention de permis de construire et de l’obtention du financement…
Dès lors il faut boucler l’avant-projet et les études projet (dont RE2020) entre le compromis de vente et le délais impartit par le notaire pour les levées de conditions suspensives.
Pour la demande de financement en autoconsruction, il est très souvent demandé des devis matériaux.
Si l’on veux qu’ils soient exhaustifs, cela veut dire qu’il faut également réaliser les études d’exécution (quantitatifs).
J’aurai tendance à penser qu’un projet de construction se réfléchit en amont de la recherche d’un terrain.
On peut même se ranger à l’idée que la recherche d’un terrain est postérieur à la définitions des grands axes du projet et des choix budgétairement engageant arrêtés.
Dans la réalité hélas, on choisi un terrain pour son prix propre et des critères découplés du projet de construction, sans anticiper des surcouts éventuels qu’il pourrait faire apparaitre à la réalisation :
Yves je ne comprends pas, tu as fait une maison passive mais elle ne gérait pas les canicules ? 
J’ai de mon coté, effectivement une surchauffe hivernale… 
Lorsque l’on devrait avoir avoir des températures négatives pendant 3 mois à 1000m alt (en tout cas pas supérieur à 5°) et que l’on récupère 12° en plein mois de février…
Si, pas trop mal, mais une MOB même « passive » ça ne résiste pas à une canicule d’une semaine. C’est un concept qui est né en Allemagne du nord pour…limiter au maximum les dépenses de chauffage. Je ne t’apprends rien. Et pour ça elle était parfaite !!
Bonjour !
Un commentaire qui m’avait bien aidé dans un sujet sur ce forum était l’idée de définir clairement son référentiel, au niveau de ses valeurs personnelles / de couple / de collectif pour pouvoir faire les choix qui nous correspondent. Je pense que cela va avec la partie 1 dans les objectifs mais en allant un peu au delà.
Concrètement, la problématique que j’ai rencontrée, comme beaucoup d’autres, a été d’avoir des difficultés à faire un choix entre deux techniques (ou plus) : « ok, une fois que j’ai les coûts, les temps à passer, la performance thermique et environnementale, les avis sur le confort, etc., par exemple entre de la laine de bois et du chaux chanvre (c’était le débat long en question sur ce forum), que les deux ont des avantages et des inconvénients, comment je choisis vraiment de me lancer dans une voie ou une autre, forcément très engageante ? »
Revenir un cran au-dessus, au niveau des valeurs pour le projet (par exemple simplicité, low tech, temps long, ou potentiellement à l’inverse meilleure performance disponible sur le marché, temps court…) permet de sortir la tête du guidon et de se réaligner.
Tout ça pour une éventuelle petite précision 