Bonjour,
Je suis d’origine guadeloupéenne et je nourrie un projet de création d’une start-up œuvrant pour l’information de construction durable aux Antilles-Guyane et Outre-mer.
Je pense que le concept de Twiza peut intéresser beaucoup d’antillais qui construisent au ‹ coup de main ›.
Je me propose donc pour faire connaitre Twiza déjà dans ma région d’origine la Guadeloupe.
J’ai un contact de l’association Craterre qui à l’expérience de construction avec des autochtones dans les îles du Pacifique et la Nouvelle Calédonie, et qui est d’accord pour faire un webinaire sur comment penser un projet d’auto-construction.
Je pourrais commencer par passer des annonces sur différents réseaux pour interroger les personnes qui ont l’expérience de l’auto-construction ou qui veulent s’y mettre.
Est-ce que vous pensez qu’impliquer des petites entreprises locales pourrait avoir du sens ?
Et comment amorcer la question du groupement d’achat sur ces territoires ?
@Solene , tu nous as aussi partagé ton envie de travailler sur les outre mer, donc je te tag sur cette discussion pour que tu te mettes en lien avec Marie flo et avancer sur ce nouveau dossier.
Bonjour, j’avance dans mon projet de faire connaitre Twiza aux Antilles.
J’ai trouvé des volontaires pour intervenir lors d’un webinaire sur l’auto-construction. Je pourrais parler de Twiza mais j’aurais préféré qu’un " ancien" qui à l’expérience des chantiers puisse témoigner aussi. Y aurait-il un volontaire ?
@Mariflo je suis partante pour intervenir malgré mon manque de réactivité sur le réseau : j’espère que le webinaire n’est pas passé. Je suis assez disponible à partir de lundi j’ai juste besoin d’une horaire précise pour être devant mon ordinateur et pourquoi pas des thème que tu souhaites aborder, on peut même s’appeler pour en parler ensemble avant si tu veux.
en effet ça me semble être une bonne initiative cette annonce. Je ne comprends pas la mise en valeur du réseau grâce à l’assurance. Au vu du fait que l’assurance ne fonctionne pas pour les outre-mers pour l’instant, j’aurai choisi une approche reprenant les points clefs de la charte Twiza (l’environnement et la santé, l’équilibre et la confiance, la culture et le savoir-faire) pour présenter hors métropole.
Bonjour Solène,
Je pense que s’il n’y a pas d’assurance que Twiza n’a pas intérêt d’organiser les chantiers participatifs car en cas d’accident çà pourrait faire très mal.
Qu’en pense Emi ?
Je serai partante pour caler des nouveaux rendez-vous téléphonique pour continuer à discuter des avancées de ce projet.
Je repense souvent à la proposition de @Mariflo d’essayer de faire de l’isolation avec la paille de canne à sucre, je me demande comment mettre ça en oeuvre, faut-il ramener de la paille de canne à sucre chez des spécialistes de la construction paille en métropole pour leur demander leur avis?
Perso je n’ai pas la réponse, mais @Loic organise une rencontre sur la canne de Provence.
Peut être a t il des idées ?
Pour votre appel @Solene et @Mariflo , je vous laisse voir ça entre vous pour le caler
Bonjour,
Pas d’idée concrète pour l’utilisation de la Canne à sucre. Pour ce qui est de la canne de Provence, son usage se base en partie sur les techniques constructives en bambou, l’autre usage est de l’utiliser sous forme de canisse en tant que support d’enduit ; mais je ne suis pas sûr que la canne à sucre s’y prèterait. Pour ce qui est des feuilles et des tiges, on aimerait également faire des essais en botte, en vrac ou mélangé sous forme de béton végétal. Je pense qu’il faut d’abord commencé par des expérimentations maisons, puis faire des premières mesures toujours « maisons » (potentiellement avec l’aide d’un lycée) avant essayer de faire caractériser par un labo.
Cela va me servir de ressource pour faire mes premiers ateliers sur le décryptage de l’architecture. Je suis en discussion pour utiliser aussi un MOOC de l’ADEME sur construire durable en zone tropicale humide dont voici le lien
Le 12 janvier 2010, un tremblement de terre d’une magnitude de 7,0 à 7,3 frappait Haïti. Son épicentre était situé approximativement à 25,3 km de Port-au-Prince, la capitale du pays.
En plus des pertes humaines incalculables, de nombreuses habitations modestes se sont effondrées, mettant plus d’un million de personnes à la rue. D’autres édifices plus solides – comme les palais national et de justice, plusieurs ministères et la prison centrale – ont été détruits ou ont subi des dommages importants. L’Hôtel Montana, le plus grand de la ville, a également été saccagé par le séisme. Douze ans plus tard, le pays est-il reconstruit?
Animé par le professeur Gonzalo Lizarralde (aménagement 2004), cet événement virtuel vise à susciter la conversation sur le processus de reconstruction de plusieurs centres urbains en Haïti: