Demande d’aide pour chauffage solaire indépendant

Bonsoir j’ai beaucoup de questions à poser mais là plus importante concerne le chauffage solaire. En effet plus je m’informe et moins c’est clair. La surface, l’exposition, l’indépendance d’avec EDF, les batteries, l’onduleur, les panneaux solaires ou photovoltaïques. Je suis perdue et mon mari encore plus. Merci pour votre aide. Nicole Avignon

Bonjour Nicole,

Pour simplifier, et pour éviter à chercher à tout savoir sur tout (ce qui est impossible) je t’invite à revenir à la base, là où tu étais avant de te perdre, pour reprendre ton expression :slight_smile:

Donc : quel est le problème que tu souhaites régler ? Quelle est la tension qui te met en mouvement ?

2 « J'aime »

Bonjour,

attention de ne pas confondre chauffage solaire et production d’électricité solaire.
Pour le chauffage solaire, on utilise des panneaux thermiques qui n’ont rien à voir avec EDF.
Par contre, si tu compte chauffer ton eau à l’électricité, il te faudra une belle installation car une bonne partie de ton électricité produite sera absorbée par ton chauffe eau ce qui de plus sera potentiellement impossible en hiver. ;o)

Cordialement,

Rudy

1 « J'aime »

bonjour,
la question du chauffage solaire est un tout, indépendant d’une éventuelle production électrique. cela peut concerner l’eau chaude sanitaire et le chauffage de la maison.
pour l’eau chaude sanitaire, il faut regarder la doc des chauffes eau solaires

image

mais le capteur n’est pas forcément à poser sur le toit, il peut être dans le jardin.
pour le chauffage de la maison, il faut prendre en compte la chaleur récupérée par les baies en fonction de l’ensoleillement on peut ajouter des capteurs à air muraux ou fabriquer un mur Trombe sur la façade ensoleillée ou encore des capteurs à air sur le toit
Le mur Trombe ou mur capteur - Petite maison minimaliste en bois (auto-constructeurs.fr)

2 « J'aime »

Bonsoir e 28 septembre la SAUR vient vérifier notre fosse septique qui ils le savent n’est pas aux normes. Nous avons des toilettes sèches et donc nous ne rejetons pas d’excréments dedans. Nous avons pour projets de faire nous même avec l’aide d’un ami, la phyto-épuration . Pouvez vous m’aider et me conseiller sur ce que je dois leur dire. À chaque visite 80 euros à débourser comme punition. Par avance merci. Nicole

Bonjour Nicole,
Je pense que votre demande manque d’objectivité. Vous parlez de toilettes sèches et en même temps de chauffage solaire. Ce sont des sujets totalement opposés, qui demande des compétences différentes. Personnellement, je ne comprends pas votre problématique.

En effet cela peut paraître disparate comme demande, j’avoue ne pas maîtriser l’outil que m’offre votre association. Je ne sais pas où poster mes demandes. Je vous ai découvert lors d’un événement organisé en mai par une association de Challans, les garnements. Un membre de Twiza a présenté l’association, depuis je tente de découvrir l’outil mis à mon service. Ce n’est pas chose aisée car à 70 ans j’ai du mal. Je suis parvenue avec difficulté à participer au direct aujourd’hui non sans mal. Donc ma question pour être plus simple sur les toilettes sèches déjà en fonction depuis 2 ans serait quelles sont les normes, car l’ASSOR nous harcèle pour mettre notre fosse septique aux normes. Donc nous avons décidé de faire par nos propres moyens une phyto-épuration. Donc cela est notre priorité. Je veux adhérer et participer à un chantier sur ce thème. Merc pour tout

Ok, n’hésitez pas à ouvrir un nouveau sujet par problème en précisant bien vos contraintes. Peut-être quelqu’un de la communauté Twiza pourra vous apporter de l’aide.

Bonjour Nicole,

La phytoépuration n’est (malheureusement) pas une filière disposant d’un DTU (Document Technique Unifié) qui vous permettrait de faire vous même une phyto.

Actuellement cette filière est sous agrément ministériel, c’est à dire qu’une entreprise a proposé son système phyto avec ses caractéristiques propres et un contrôle de la qualité de traitement des eaux. Seules ces filières « agréées » peuvent donc être considérées comme conforme d’un point de vue réglementaire.

La première étape est de contacter un bureau d’étude pour l’assainissement qui réalisera une étude de dimensionnement. Ensuite certaines marques (que je ne citerai pas ici je crois qu’il n’y a pas le droit) proposent de l’autoconstruction accompagnée ce qui permet de réduite très considérablement les coûts (mais on atteint très vite les 6500€HT pour une maison 3 chambres par exemple).

Le BE pourra peut-être proposer, si les conditions le permettent, de réaliser des tranchées d’épandage qui sont nettement moins couteuses que la phyto épuration.

il y a au moins une entreprise nationale qui propose l’étude et le kit pour le système filtre à roseau à faire en auto construction. Je ne sais pas si on peut citer la marque mais je peux donner les indications en privé

Merci Bernard ! En effet les organismes sont bien huilés pour que nous soyons dans l’obligation de passer par des intermédiaires qui prennent chacune au passage leur éco. Mais malgré tout je connais certaines personnes qui ont fait leur phytoépuration eux mêmes. Comment pouvons nous communiquer de façon à être dans une démarche non répréhensible puisque vous me dites ne pas pouvoir me communiquer des marques ?

Après tout dépend ce que vous voulez. Dimensionnée dans les règles une phyto faite par vous même pourra fonctionner. Mais réglementairement vous ne serez pas dans les clous et je ne pense pas qu’ici un pro vous conseillera de réaliser un ouvrage ne répondant pas à la réglementation.

La marque n’est pas compliqué à trouvé c’est le premier lien commercial sur GooG**

Comme je le disais plus haut quel est votre type de sol sur votre parcelle? Si la terre n’est pas trop argileuse vous pourriez envisager une infiltration. Cela vous coutera trois francs si sous, ce sera réglementaire et vous pourrez le faire vous même! Il faut faire usuellement un test Porchet (test d’infiltration) mais vous pouvez tout simplement faire un bete trou dans votre sol, le laisser en eau quelques heures et faire ensuite une mesure de la hauteur d’eau infiltrée sur un temps donné. Vous mesurez ensuite la fouille réalisée et vous aurez un volume infiltré sur une durée à partir de laquelle vous pourrez estimer une perméabilité.

A partir de cette perméabilité (il faut qu’elle soit au minimum supérieure à 15mm/h) vous pouvez envisager de l’infiltration.

Quelques liens:
https://document.environnement.brussels/opac_css/elecfile/O015_-Fiche_n2-Essai_Matsuo_FR.pdf
https://document.environnement.brussels/opac_css/elecfile/O015
-Fiche_n3-_Essai_Porchet_FR.pdf

2 « J'aime »

Bonjour, Apparemment vous êtes en Vendée. J’y passe 2 fois par an (mai et octobre). J’ai l’habitude de m’arrêter chez de vieux amis à Challans? Si ça vous intéresse qu’on fasse le tour de vos différents « problèmes » présents ou futurs, cela serait possible. Yves Martin